Cardinal sur le poids du Vote du Conclave

Crédit : ABC News

Cité du VATICAN — nuages d'orage réunis au cours de la Basilique Saint-Pierre, presque comme si Dieu lui-même voulait un cadre sombre pour un jour sombre dans l'histoire de l'église catholique.

A l'intérieur, tous les 115 cardinaux et, symboliquement, tous les fidèles, se sont réunis pour une dernière Messe. Un rappel au milieu des espaces puissants de Saint-Pierre que cette élection papale, dans la croyance des catholiques, est une sorte de culte, une sorte de prière de choisir le prochain pape.

Dans l'homélie était un appel à l'unité du doyen du Collège des cardinaux, Angelo Sodano, qui a également salué l'homme qui n'était pas là : Benoît le pape émérite, maintenant dans la solitude en dehors de Rome.

Parmi les hommes qui feront de ce conclave de vote a été le Cardinal Justin Rigali, ancien archevêque de Philadelphie. Ce sera son second conclave — il a voté à l'élection de Benoît XVI en 2005 — cette fois, Cardinal Rigali savait à quoi s'attendre.

« Il commence par chanter en Latin d'apporter l'Esprit Saint, et c'est le serment qui est pris, » dit-il.

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Les cardinaux lire le serment secret ensemble. Rigali a été là avant. Il a pris le même serment et assumé la même tâche historique. Il a rappelé que c'était comme être à l'intérieur de la chapelle Sixtine au cours de ce moment.

« Il n'est pas seulement une question de parler ou d'essayer d'en faire quelque chose de politique », dit-il. "C'est un fait que le peuple de Dieu est demandant à Dieu de relever d'un homme qui restera avec ses limites humaines et sera un leader digne de l'église. C'est ce que nous demandons".

Who's Who au Conclave ?

Voyage de Rigali à Rome a commencé il y a près de deux semaines de la petite ville de Knoxville, au Tennessee, où il a pris sa retraite. Au milieu des fidèles de Knoxville, un service de prière publique a eu lieu en son honneur, avec 1 000 étudiants de l'école secondaire catholique locale et des membres de la Communauté dans les bancs.  À l'aéroport, il fut acclamé comme une rock star alors qu'il se dirigeait à son avion.

À une escale à Atlanta, j'ai rencontré avec lui.

Prochain arrêt : Rome.

Après son arrivée, je lui ai demandé s'il connaissait encore dans son cœur et l'esprit qu'il voterait au conclave.

« C'est une élection très grave qui cause l'écoute, » a déclaré Rigali. "Il s'agit de peser les différents candidats et cela ne peut se faire a priori. On ne peut pas le faire avant d'aller et vous décidez. Vous devez être ouvert au processus qui se déroule et nous croyons que le Saint-Esprit est avec nous. »

La semaine dernière, Rigali a rejoint les autres cardinaux pour dire adieu au Pape Benedict XVI, et puis ils se sont attelés à la véritable travail ici : réunions et plus, où la politique se produire — et en pauses café trop.

« Les pauses café sont une composante, » a déclaré Rigali. « Il nous donne la possibilité de parler avec les cardinaux, certains nous en savons plus, certains nous savons moins. Il nous donne l'occasion d'échanger nos pensées. »

Mais c'était une réalité différente aujourd'hui — une réalité plus profonde, ils croient. Après avoir prêté serment, après leurs prières, la commande simple a été dit: « Extra Omnes, » qui signifie « à l'extérieur de tous », ou familièrement, tout le monde qui n'est pas un électeur de cardinal.

Et ils sont partis. Le personnel, les prêtres, les caméras. Les grandes portes de la chapelle Sixtine ont été fermés et les cardinaux étaient les seuls à l'intérieur.

Cardinal Rigali décrit le vote comme une sorte de communion dans la prière.

« Les gens essaient d'écouter l'inspiration du Saint-Esprit, » dit-il. « Nous essayons d'entendre la sagesse qui est communiquée à leurs cardinaux frère. »

Comme une soirée froide et humide sont tombées sur la ville éternelle, milliers attendus en place Saint-Pierre, à rude épreuve afin de voir la cheminée au sommet de la chapelle Sixtine pour la fumée qui signifie un vote a été pris.

Tout à coup, précisément 19:42, heure locale, il était là.

Fumée noire. Un vote non concluant.

Il n'y a pas de pape. Ce soir.